Une sortie de l'A20 imprévue.
Un accès au village perturbé.
Le route par le sud du village semble coupée.
Un détour dans la campagne environnante.
Une halte devant un pâturage et la rencontre avec un habitant qui propose de m'accompagner jusqu'au village.
La route autour du lieudit Le Terrier est accidentée mais la vue avant de franchir le ruisseau du Portefeuille est encore plus belle par cette voie.
La place de la République est calme en ce jour d'hiver. Il faut imaginer qu'ici se tenaient la foire aux sabots et la foire de la laine chaque 9 juillet.
En remontant la rue Émile Surun, on arrive à la porte fortifiée et au beffroi de la ville.
Le portail XIVe siècle donne accès au centre-bourg
Depuis la porte fortifiée, on descend vers le quartier des religieux par l'impasse Rosette ou la rue du Fort.
Vue de l'église, du prieuré et de la rue Sous le Mur.
Le prieuré roman fortifié du XIVe siècle et l'église prieurale.
La fondation de l'institution monastique remonte à l'an 974 ou 975. En 1563, les protestants saccagent le prieuré et brûlent les titres de l'institution.
La maison dite du sénéchal flanquée d'une tour saillante occupée par un escalier. Le sénéchal sous l'Ancien Régime était un agent du roi qui administrait la sénéchaussée, rendait la justice et nommait les notaires sur son territoire.
Vue latérale de l'église prieurale.
La cour prieurale.
Saisis et vendus comme biens nationaux, les bâtiments monastiques deviennent propriété communale en 1910 pour établir l'école primaire (1912-1933).
L'église comme le prieuré sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 21 octobre 2011.
Derrière l'église, on accède à un chemin qui longe les maisons et les jardins du lieudit Le Portugal.
Au revoir village perché de Saint-Benoît-du-Sault !